Périple au Japon

Après avoir déposé nos bagages à l’hôtel, nous prenons un petit train local pour Inari. Nous allons visiter le sanctuaire Fushimini Inari, connu pour ses milliers de torii rouges. En effet, dès notre arrivée, la gare est déjà décorée avec des torii rouges.

Nous arrivons enfin à l’entrée du sanctuaire Fushimi Inari.

Après avoir traversé le sanctuaire et monté quelques marches, nous découvrons devant nous un magnifique chemin orné de milliers de torii. Le chemin se prolonge sur plusieurs centaines de mètres dans la montagne et la verdure.

C’est magnifique !

Ce matin, à l’aube où blanchit la campagne, nous sommes partis pour prendre le train. Nous partons pour Osaka et Kyoto, 3 heures de shinkansen nous attendent.

Le shinkansen est un train à grande vitesse semblable à notre TGV français. Par contre, à l’intérieur, tout est différent : il y a beaucoup plus de place pour mettre ses jambes, les allées sont plus larges (on peut donc passer avec son sac sans déranger tout le monde ), et les sièges sont tous dans le sens de la marche. Le seul point négatif est qu’il n’y a pas de compartiment spécifique pour les (gros) bagages.

Aujourd’hui, il fait très beau et le ciel est dégagé. Sur le chemin entre Tokyo et Kyoto, nous apercevons le mont Fuji. Le train traverse des paysages japonais typiques : maisons en bois, rizières, bord de mer…

Revivez notre voyage en shinkansen grâce à cette petite vidéo !

Pour finir la journée, nous partons voir et visiter la tour de Tokyo pour profiter d’une vue panoramique sur la ville de Tokyo. La Tokyo Tower est une tour en métal de 332 mètres (soit 8 mètres de plus que la Tour Eiffel ! ).

Le premier observatoire est situé à 150 mètres de hauteur. Il y a un second observatoire 100 mètres plus haut mais nous n’y sommes pas allés.

Pour finir, une petite vidéo avec la montée en ascenseur, la vue panoramique, et la descente.

Demain, nous prenons le shinkansen de bonne heure pour rejoindre Kyoto où nous allons passer 3 jours. À très bientôt donc pour de nouvelles aventures !

Aujourd’hui, petite balade dans le quartier d’Akihabara (ou Akiba). Elle est appelée « ville électrique » car on y trouve de nombreuses boutiques d’électronique, d’informatique, de photo/vidéo ou encore de gadgets électroniques.

Plus récemment, c’est aussi devenu le quartier du jeu, des mangas et des produits dérivés des mangas : DVD, figurines, vêtements, jouets et même des distributeurs de canettes à l’effigie des héros de mangas du moment.

Sur les trottoirs des cosplays « publicitaires » font des annonces pour nous inciter à rentrer dans leur magasin ou distribuent des prospectus publicitaires.

Enfin, Akiba, c’est aussi la ville du jeu vidéo  des buildings abritent sur plusieurs étages des salles de jeux vidéos ou plus traditionnels. Au détour d’une rue, nous nous laissons tenter par un club Sega, puis un game center Taito. Nous tentons notre chance aux UFO catchers (jeux à pinces).

Après quelques essais seulement sur un UFO catcher, Emeline a gagné notre mascotte : Monster.

Petite pause gourmande à Mister Donut, que j’ai découvert au Japon, et qui existe dans d’autres pays, mais pas en France. Pas vraiment typique du Japon, mais bon…

À l’intérieur, on trouve des rayons remplis de donuts pour tous les goûts : donut nature, donut sucré, donut chocolat, double chocolat, framboise, noix de coco, pépites de sucre… On prend un plateau et on se sert. Entre 120 et 200 yens le donut (moins de 2 euros), c’est relativement bon marché.

Bouh !

D’autres pancartes kawaii trouvées sur notre chemin. Nous laissons libre court à votre imagination pour trouver ce qu’elles peuvent bien vouloir dire ou indiquer !

À mi-chemin de notre escapade sur la ligne Arakawa, nous nous sommes arrêtés à Koshinzuka pour manger un morceau. Nous avons trouvé une petite boutique qui vendait des bentō, sorte de petite boîte à casse-croûte :

Voici notre bentō, prêt à être avalé (avec les baguettes, s’il vous plaît) :

Nous avons aussi acheté cette petite boîte contenant des brochettes bizarres, à base de boules gluantes. Il s’agit en fait de dango, des boules de mochi (pâte de riz) en brochette. Celles-ci sont au thé vert, et je dois avouer que je n’ai pas du tout apprécié (pour Emeline, ça peut aller… et il faut qu’elle les finisse toutes, on va pas les jeter ).

La ligne de tramway Arakawa est une des dernières lignes de tramway de Tokyo. Elle s’étend sur 12 kilomètres de l’université de Waseda au Nord-Ouest jusqu’à Minowa au Nord-Est. Au contraire des lignes de train plus récentes comme la Yamanote, elle traverse des quartiers plus pittoresques, que les néons et la frénésie des grands centres urbains tokyoïtes n’ont pas encore conquis.

Grâce au pass 1 journée (400 yens), nous nous arrêtons au gré de nos envies et remontons dans le tram suivant. Cela nous permet d’explorer les quartiers alentours tout au long de la ligne…

Maintenant, juste pour le plaisir, une petite vidéo « comme si vous étiez » !

Nos amis japonais aiment bien les Français. Et ils aiment aussi écrire en français, c’est très à la mode, et ça fait « classe » ici. Par contre, ils ont parfois quelques petits soucis d’orthographe, voire de syntaxe. C’est ce que l’on appelle du franponais. Copie à revoir, donc !

Odaiba, dans la baie de Tokyo, est une île artificielle construite pendant le 19ème siècle pour protéger le Japon. Elle abrite aujourd’hui des bureaux, des hôtels, des centres de loisirs, des parcs et des musées.

Pour se rendre sur l’île d’Odaiba, il faut emprunter un métro aérien automatisé, la Yurikamome, qui passe entre les buildings de Shimbashi puis traverse le Rainbow Bridge, un pont suspendu. Pendant le trajet jusqu’à Odaiba, on a une superbe vue sur la ville et la baie de Tokyo.

Une fois arrivés sur l’île, nous débutons notre visite par Palette Town, un gigantesque complexe qui abrite un centre commercial sur 3 étages, des attractions, des restaurants, et une grande roue parmi les plus imposantes du monde. L’intérieur du contre commercial a des airs d’Italie…

Depuis l’île d’Odaiba, nous avons une belle vue sur la baie de Tokyo et sur la ville de Tokyo. Et sur New-York… ou presque : une réplique de la statue de la liberté (en plus petite) est installée dans un parc, devant le bord de mer.

La nuit tombe. Nous nous offrons un petit coucher de soleil sur le Rainbow Bridge (au loin, on peut apercevoir la Tokyo Tower).